
Un courrier du groupe Daniel-DPL le 1er février révèle l'attitude expéditive de son chef. Courrier le 1er pour action le 2 février ! Daniel-DPL y informe, entre autres, le président de l’Association Foncière de Remembrement, qu’il allait « en tant que propriétaire de parcelles et usager des chemins, pour des raisons évidentes de sécurité et d’entretien, procéder à des essais à la dynaplaque * sur certaines portions des chemins (dans la plaine de Carresse-Cassaber Carressa e Cassabè ndlr) afin de vérifier précisément leur état ».
Extraits de la réponse de l’AFR :
« Nous enregistrons votre récente prise en compte des dangers inévitablement aggravés par la présence d’une exploitation industrielle ».
« Vous n’êtes qu’un des bénéficiaires de ces chemins d’exploitation. L’arrêt du Tribunal Administratif de Pau du 15 décembre 2021 a annulé les deux arrêtés autorisant votre projet de gravière. Vous n’avez plus d’autorisation, ni pour exploiter des granulats, ni pour circuler avec des camions sur ces chemins privés gérés par l’AFR… ».
« Un arrêt de la Cour de Cassation établit que c’est bien l’ensemble unanime des bénéficiaires de ces chemins d’exploitation qui peut décider de l’utilité de travaux ».
« En tant que président de l’AFR... je vous prie de bien noter notre refus ».
L’association souveraine ne se rend pas aux larmes du crocodile qui voudrait vérifier « sécurité et entretien » des chemins alors qu’il s’en est contre-fichu jusqu’alors !
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